
P.P.P.
Depuis un certain temps, on nous fait l’article sur le partenariat public-privé. Ou "Pour Pas Pleurer."
De quoi s’agit-il ?
D’un financement privé, d’une prestation, d’un service ou d’un équipement public contre délégation de la gestion (en général rentable) au financeur.
Exemple niçois : le stade Allianz-Riviera
Quel en est l’intérêt ?
Permettre à la ville ou à la collectivité de ne pas requérir à un prêt et ne pas, ainsi, alourdir son endettement.
De sources proches du maire, notre ville aurait signé un P.P.P. pour les espaces verts.
Elle se serait associée à une grande enseigne du papier peint et de la moquette, dont le nom commence par un Saint et se termine par aclou, pour remplacer petit à petit les surfaces engazonnées par des surfaces emmoquettées.
Mais à quelles fins ?
A fin de donner une image contrastée, qui ne souffre pas de la sécheresse et de l’aridité climatique qui règne à Nice, une image de carte postale où le bleu synthétique des brigadiers des parcs et jardins contraste sur le vert synthétique dudit gazon, net, propre.
Mais pour quelles compensations ?
Toujours de source proche du maire, la gestion des toilettes serait cédée à ladite entreprise, qui verrait par ailleurs la Promenade du Paillon rebaptisée Promenade du Paillasson, la ville ayant refusé la Promenade Saint …aclou ! (mais non, là on déconne....et n’oubliez pas les patins…!)
CQFD, aux niçois qui mal y pensent